Il y a quelques semaines, j’ai reçu un courriel de Stampin’ Up ! au sujet de Paper Pumpkin. Pour souligner les 5 ans d’existence du programme, il y aurait un cadeau surprise à l’intérieur de la trousse du mois de mars. Ça y est, j’étais hameçonnée, moi qui suis curieuse de nature. Il fallait que je sache quelle était la nature de cette surprise ! En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, j’étais abonnée. Je n’ai d’ailleurs pas été la seule à succomber puisque la promo affichait « sold out » avant la fin de la période habituelle d’inscription, soit le 10 de chaque mois.
Qu’est-ce que Paper Pumpkin vous demandez-vous ? C’est tout ce qu’il faut pour faire un dizaine de cartes, livré dans directement à votre porte une fois par mois. Et quand je dis tout ce qu’il faut, c’est vraiment tout : des cartes prédécoupées, des enveloppes, des autocollants, un ensemble d’étampes (toujours en anglais, toutefois), des embellissements, du ruban, un mini tampon encreur et j’en passe. Voici de quoi avait l’air la boîte de mars :
Tout en haut de ce post, vous avez la moitié des cartes que j’ai confectionné à partir du contenu de la boite. Bien sûr, j’ai un peu triché en utilisant des pensées en français que j’avais déjà de Stampin’ Up ! pour remplacer celles fournies, en anglais. J’ai aussi préféré l’encre Fruits des bois (126946) à la couleur Espresso (126974) qui accompagnait le tout.
Après avoir confectionné les huit cartes, il me restait encore bien du matériel, dont une bonne longueur de ruban, que je pourrai utiliser pour mes futurs projets. Ah ! Et j’avais encore tout plein d’embellissements en bois (le cadeau-mystère) pour de belles créations que je compte bien réaliser cette semaine.
Et maintenant, vous voulez sûrement savoir combien coûte cette merveilleuse petite boite tout-en-un ? 26.95$ par mois + tx, transport inclus cependant. Si ça vous intéresse, il faut passer par ici pour s’abonner. C’est d’ailleurs le moment parfait pour ça puisqu’il y a actuellement une promotion offrant les deux premiers mois à 50% de rabais. À ce prix, ça vaut la peine d’essayer, non ?